Contenu de qualité, sans fautes et 100% assisté humainement
Mon utilisation principale de l’IA est pour rédiger à moindre cout des articles “expert” sur des thématiques que je maitrise relativement bien.
L’intérêt pour moi :
- Le gain de temps colossal pour l’écriture des articles et la mise en place de mes idées puisque l’IA me permet de rédiger des articles de 2000 mots de qualité avec une véritable expertise en 15-25 minutes.
- Une rédaction sans fautes, pratique quand vous trainez de grosses lacunes grammaticales ! (Une rédaction sans fautes est vraiment importante pour Google)
- Pas de duplicate content (plagiat) : L’IA ne duplique pas de contenu existant, donc contrairement à mes rédacteurs Offshore je n’ai pas à re-vérifier mon contenu à l’aide d’outils payants pour check le plagiat.
- Le coût du contenu : avec les méthodes que j’utilise aujourd’hui, 1000 mots me coute environ 0,60 centime d’euro. Imbattable !
- Une augmentation du volume : Nous verrons un peu plus tard les différents business modèles de monétisation web au travers de l’IA. Mais qui dit gain de temps et d’argent dit augmentation considérable du volume des différents contenus présents sur mes sites. Qui dit volume, dit mots clés, et qui dit mots clés dit argent !
Intérêt potentiel supplémentaire :
- Rédaction de fiche produits pour les e-commercants, je sais à quel point l’e-commerce peut être compliqué en SEO, particulièrement en ce qui concerne l’écriture de fiches produits uniques pour vos 294 000 produits. L’IA est une option à considérer depuis peu à ce sujet.
- Rédaction de <Meta description> uniques : je ne customise pas réellement mes métas description sur une grande partie de mes sites, cependant j’ai surement tort à ce propos et l’IA vous permet éventuellement de générer une tonne de méta description unique pour vos sites.
- Rédaction de témoignage : ce n’est pas forcément très éthique, mais pour le coup ça fonctionne pas mal aussi !
Attention, j’insiste sur le fait que je ne laisse pas l’IA rédiger la totalité de mon contenu, j’en rédige moi-même une partie pour la mettre sur les rails et je ne cesse de corriger cette dernière pour rester maitre des sujets qu’elle aborde. C’est donc bien mon cerveau qui se trouve derrière l’IA et pas l’inverse, en tout cas pour le moment !
Cette rigueur et cet accompagnement de l’intelligence artificielle me permet d’obtenir des textes finaux à la fois optimisés sémantiquement, mais également complètement lisible et informatif. Je vous parlais un peu plus haut de l’étude d’Adrian Yijie Xu, qui indiquait que seulement 52% des gens peuvent reconnaitre le contenu d’une IA. Je peux vous assurer que je serais surpris si 2% des gens étaient capables de détecter que mon contenu rédigé avec une IA était écrit par une IA et pas par un humain.
Contenu basse qualité 100% IA
Au-delà d’un contenu de bonne qualité assisté à 100% par l’humain, j’utilise aussi GPT-3 et l’intelligence artificielle bien différemment. En effet, dans le cadre de stratégies blackhat que je développerais un peu plus bas, j’utilise également l’IA de manière plus agressive.
Certains outils, comme Le Scribouillard ou encore Pairokay (cocorico), permettent d’automatiser la rédaction de son contenu de manière plus radicale. (J’ai dégoté un code promo de 30% pour vous sur Le Scribouillard : “impactim30”, profitez en !)
Il vous suffit d’envoyer le plan de votre futur article pour que l’IA vous sorte un article entièrement rédigé en moins de 3 minutes.
Ce contenu est ensuite mis en ligne le plus automatiquement possible puis indexé avant de se positionner.
Dans ce cas précis, je travaille sans même relire les articles générés. L’objectif ici est de faire du volume et de faire croire à Google que mon site est une usine à Gaz.
Avant la génération de contenu via IA, en 2013-2014, ce type de techniques étaient aussi utilisés. À l’époque, on utilisait principalement le content spinning pour produire une grande quantité de contenu unique avec un ou plusieurs “Masterspins”, C’est stupéfiant de voir à quel point les choses ont déjà évoluées en si peu de temps.